Il est presque l’heure de fermeture des pistes. Dans ces moments où les skieurs rentrent chez eux, 2 nouvelles activités prennent le relais : la descente des pistes en snakegliss avec Christophe Moulin du côté du Pleynet et le airboard Avec Jochen Bogghero. Du côté de Prapoutel, c’est l’animateur de l’office du tourisme qui vous fait découvrir le snakegliss. En haut des pistes, il y a séance de gonflage pour les uns (ceux qui vont s’installer sur le airboard) et formation d’un serpentin pour les autres.
Pour les uns comme pour les autres, la descente en airboard et en snakegliss s’annonce sensationnelle. Vous ressentez une poussée d’excitation et d’adrénaline, mais vient le moment où l’on ne peut plus repousser : il faut se lancer dans la pente.
Un serpentin aux airs de bolide
En haut des pistes de Prapoutel et du Pleynet, face à la pente vous voyez le serpentin du snakegliss se former peu à peu. Plusieurs luges accrochées ensemble où adultes et enfants s’installent. Les moins rassurés s’installent à l’avant, là où c’est plus calme, alors que les amateurs de sensations fortes prennent place à l’arrière. C’est à l’arrière que l’on en ressent le plus.
Dans quelques instants, le snakegliss va glisser sur les pentes enneigées désormais fermées aux skieurs. Quelques minutes de descente ! Quelques minutes où votre adrénaline va monter.
L’airboard : adrénaline garantie
Tête la première au ras du sol, vous sentez le vent et la neige qui vous fouettent le visage. Votre vitesse de croisière ? Vous n’en savez rien, mais une chose est sûre c’est que sur cette luge gonflable, glisser sur les pentes enneigées, ça descend vite, très vite parfois. Le bas du Pleynet se rapprochent à vitesse grand V.
Si vous devez vous accrocher pour dompter votre monture, il est indéniable que les sensations sont immenses. Bosses, virages, creux, vous glissez sur les pentes enneigées en snakegliss ou en airboard la tête la première et vous n’avez qu’une seule pensée en tête : recommencer !